TG Daily, le journal autoproclamé "geek" spécialisé dans les nouvelles technologies, vient de publier un article intitulé "Albert Karaziwan and Semlex on the Congolese passport Case" (Albert Karaziwan et Semlex à propos de l'affaire du passeport congolais"), où le voile est levé sur la bataille acharnée que mènent les compagnies productrices de passeports et autres documents biométriques dans le monde, pour l'obtention de marchés de plusieurs millions d'euros. En l’occurrence, la production du passeport congolais, avait fait coulé beaucoup d'encre lorsque la jeune société indépendante SEMLEX avait remporté le marché. L'agence Reuters avait questionné le prix du passeport, qui paraissait alors élevé. Cependant celui-ci s'est avéré moins cher et plus performant en terme de qualité et d'infaillibilité, que dans de nombreux pays. On a ensuite accusé la société émettrice d'avoir des contacts en Afrique et que par ceux-ci, elle aurait obtenu le marché de manière déloyale. Cet argument, même s'il est risible étant donné que l'appel d'offre était public, a tout de même était démenti par Semlex, qui a alors démontré qu'elle avait remporté le marché face à des concurrents de taille tels que Gemalto, Zetes ou encore l'Imprimerie Nationale: https://www.semlex.com/wp-content/uploads/2018/01/Communique%CC%81-de-presse-de-SEMLEX-EUROPE-28-12-2017.pdf
Alors pourquoi les passeports congolais ont-ils fait couler autant d'encre? Les réponses les plus simples sont souvent les bonnes. D'après le journal TG Daily, un concurrent de Semlex aurait, par le biais de relations privilégiées avec un journaliste de Reuters, David Lewis et du journaliste controversé Phillippe Engel, fait lancé ainsi une campagne calomnieuse à l'encontre de Semlex :
Source: http://www.tgdaily.com/business-and-law-opinion/albert-karaziwan-and-semlex-on-the-congolese-passport-case-2
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